Bienvenue... Sur le site d'Arts Martiaux de Tahar MAAREF, Professeur Diplômé d'Etat (B.E.E.S) (D.E.J.E.P.S) - Coach Sportif. Ex-International, 5ème Dan. Vous propose des cours de: Karaté Sportif &Traditionnel / Karaté Défense (Self-Défense) / Karaté Contact (Kick-Boxing) / Body Karaté Fitness... cours de Nunchaku de Bâton (ARNIS KALI ESCRIMA) de Balintawak et de Couteau (ARTS MARTIAUX SUD-EST ASIATIQUE)...Et en exclusivité, vous fait découvrir le Rapid Defense Method. "Ma Méthode de défense Rapide (R.D.M)" réfléchi et conçu par moi même... Contactez moi sans attendre au 06.88.14.77.82 

 
 



 LE KARATE ET LES 
 ENFANTS


                                                         

 


Pourquoi tant d'enfants, même nos tout petits qui ont à peine 5 ans, veulent-ils pratiquer le karaté?

Il est évident que les parents aident à choisir l'activité sportive de leur enfant. Ils savent que pratiquer un sport régulièrement et dans de bonnes conditions est un atout pour l'évolution physique et mentale de l'enfant (de l'adulte aussi!).

Mais que viennent chercher les enfants ? S'amuser ? Gagner ? S'améliorer ? Être en forme ? Le plaisir de la compétition? Faire de l'exercice ? Faire partie d'un groupe ? Sont-ils fiers de leurs progrès ? Sont-ils intrigués par cet art martial, ses rituels et sa philosophie ? Veulent ils se mesurer à d'autres, à eux-mêmes ? Ou ont-ils simplement envie de passer un bon moment ?
 

                                                                                                                        
 

L’enfant doit venir au club avec plaisir. L’utilisation de son corps dans des séries de mouvements naturels amène à un développement harmonieux de ses muscles et de sa souplesse. Au fur et à mesure de ses progrès techniques, il acquiert confiance en lui. Vers huit ou dix ans, une grande partie des enfants souhaite participer aux différentes compétitions organisées à leur intention, avec des règles mises au point pour éviter tout accident.


L’important étant de ne jamais les y forcer. Leur participation au combat sportif, sous le contrôle d’animateurs compétents et formés plus spécialement à l’enseignement aux enfants, doit permettre de leur apprendre à surmonter une défaite dans la dignité et à accepter une victoire dans ce qu'elle a d’éphémère et de relatif.


Pour apprendre, nous avons besoin d'un professeur, mais aussi d'un partenaire. L'un vous enseigne une technique et vous corrige; avec l'autre vous allez essayer cette technique pour voir si ça fonctionne ou pas. Leur aide, leur bonne volonté et leur amitié sont indispensables. Faites donc preuve de gentillesse et d'attention envers eux et n'oubliez pas qu'au dojo on se voit pour essayer et progresser ensemble. Dans la bonne humeur, l'entraînement est plus agréable. Ce qui vous donnera envie de venir souvent et de progresser plus vite.


Vos professeurs ne se prennent pas pour des "Grands Maîtres". Ils ont, eux aussi, à progresser et le savent : la "voie" du karaté-do dure toute une vie! Mais ils ont déjà fait un bon bout de chemin et donnent le meilleur d' eux-mêmes et de leur temps pour que vous deveniez de bons karatékas. Pour les remercier, donnez-leur votre attention pendant les cours, écoutez les attentivement sans parler à votre voisin. Donnez le meilleur de vous-même; tout ce qui mérite d'être fait, mérite d'être bien fait. Et quand vous saluez votre professeur au début et à la fin, faites-le avec politesse et le respect qui est à la base de toute amitié.


La maîtrise de tout art demande patience, autodiscipline et concentration. Le karaté fait partie de la grande famille des arts martiaux, car son enseignement traditionnel nécessite également une dimension philosophique associée à des valeurs pacifiques. Le karaté est un art du combat avec soi-même pour apprendre à se connaître dans l'action. Il représente une façon de vivre à l'intérieur d'un processus de développement personnel. Ce climat éducatif n'est pas négligeable pour des jeunes de plus en plus à la recherche de repères dans une société en crise de valeurs. La maîtrise de soi, par exemple, est nécessaire pour favoriser la vie en société. Le suffixe Do associé à plusieurs arts martiaux (Judo, Karaté-Do, Tae-kwon-do, Aikido, Kendo) signifie la recherche d'une voie intérieure pour vivre en harmonie avec soi et autrui.

 

La régie de la sécurité dans les sports du Québec évalue qu'envierons 100,000 personnes pratiquent un art martial au Québec. Plusieurs expériences ont été menées auprès divers groupes de jeunes. Les données laissent entrevoir des résultats encourageants qui nécessiteront cependant des études plus approfondies:

 


Les six fondements d’une pratique sportive réussie


Il est important que vous sachiez comment votre enfant se sent dans tout programme sportif. Nous savons maintenant qu’un programme qui apporte aux jeunes le sentiment d’être en sécurité, d’être bienvenu, d’être compétent, d’appartenir à un groupe, d’être important et d’être unique renforcera son estime de soi, son sentiment de valeur propre et, par conséquent, son plaisir de participer à ce programme sportif.


Le sentiment d’être en sécurité. Un jeune qui ne se sent pas en sécurité dans son milieu sportif aura du mal à se détendre et à éprouver du plaisir dans le sport qu'il pratique. Tout programme sportif devrait protéger les jeunes sportifs contre les dommages physiques et émotionnels.

 

Le sentiment d’être bienvenu. Le jeune doit se sentir bienvenu dans son milieu sportif, quels que soient son âge, son sexe, ses habiletés, sa culture ou sa langue. Tout programme sportif pour les jeunes doit être accueillant plutôt que sélectif. Il ne faut pas que les enfants et les jeunes subissent de discrimination ni de pression dans leur milieu sportif.

 

Le sentiment d’être compétent. Il faut que le jeune sportif se sente compétent. Le sentiment inverse est un trop grand obstacle, qui empêchera le jeune de participer à une activité physique ou à un sport. Il faut offrir aux jeunes l’occasion d’acquérir les habiletés requises pour se sentir compétents.

 

Le sentiment d’appartenir à un groupe. Les jeunes sportifs éprouvent un sentiment d’appartenance lorsqu’ils tirent satisfaction de fréquentations qui sont importantes pour eux, et lorsque ces fréquentations sont acceptées par autrui, en particulier par les parents, les entraîneurs et les pairs. Ces fréquentations peuvent impliquer les personnes, les lieux ou les objets associés à un sport en particulier.


Le sentiment d’être important. Les enfants éprouvent un fort sentiment d’importance lorsqu’ils disposent des ressources, des occasions et des aptitudes requises pour influencer les circonstances dans leur vie. Ils éprouvent aussi ce sentiment lorsqu’ils se sentent compétents dans une variété de domaines, comme la résolution de problèmes et la prise de décisions, et lorsqu’ils sont capables d’utiliser efficacement ces compétences. Les jeunes se sentent importants dans leur milieu sportif lorsque les entraîneurs leur permettent de prendre des décisions qui ont du poids et lorsqu’on leur confie des responsabilités.

 

Le sentiment d’être unique. Les enfants ont besoin d’être reconnus pour leurs réussites. Ils se sentent uniques quand les autres pensent qu'ils sont uniques et lorsqu’ils sont capables de faire des choses que personne d’autre ne peut faire. Les enfants se sentent uniques si on les encourage à être créatifs et expressifs. Pour se sentir uniques dans leur milieu sportif, les jeunes doivent pouvoir affirmer leur individualité, et être approuvés et acceptés pour cette individualité.


 

              




             
 
             
 
 
 
Sur un plan purement psychique, le fait de travailler tous ensemble favorise le respect mutuel et la coopération:
 


L'enfant, pendant le cours va apprendre à modérer son comportement, à contrôler ses gestes et à se concentrer sur l’exécution des exercices demandés, ce qui aura pour résultat de canaliser son énergie, il fera aussi connaissance avec le code moral du karaté présenté ci-dessous, où il devra s'acquérir de ces préceptes essentiel dans sa conduite de tout les jour.


 
 









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